Dévoilée en juin 2005, Google Earth fut à l'époque une petite révolution,elle offrait la possibilité à tout le monde de pouvoir voyager aux 4 coins du monde en seulement quelques clics, dans un environnement 3D interactif, texturé de photos aériennes de bonne résolution. Vous avez sûrement été ébahis par le rendu du relief lors votre premier vol au dessus du grand canyon aux Etats-Unis !

Nous ne traiterons pas de l'application Sketchup, qui permet de créer des modélisations 3D poussées et texturées. Nous nous limiterons à une modélisation simple, la plupart d'entre nous n'avons pas besoin ni le temps de créer une modélisation 3D digne des studios Pixar.

L'application Google Earth contient nativement des outils de modélisations nous permettant à partir d'un polygone (ligne ou point) en 2D de créer un volume en 3D grâce à la fonctionnalité d'extrusion permettant de créer automatiquement les surfaces du volume perpendiculaires au sol.

Les immeubles de Google en 3D extrudé

Site officiel de Google Earth

La zone de chalandise d'un établissement commercial est la zone géographique d'influence d'où provient la majorité de la clientèle.

Il existe 3 grands types de zone de chalandise :

• une basée sur les informations fournies par la clientèle, par les cartes de fidélité...
• une basée sur le temps de parcours (zone isochrone)
• l'autre basée sur la distance à vol d'oiseau (appelée zone d'isodistance ou zone isométrique, reconnaissable car de forme circulaire)

Le premier type a pour qualité de se rapprocher le plus de la réalité. De plus les 2 autres types se basent sur ce premier.

Une zone isochrone est une surface délimitée par une courbe géométrique délimitant les points accessibles par un véhicule – terrestre ou aérien – en un temps donné (par exemple, la zone pouvant être desservie en moins de 30 minutes par un livreur de pizza ou un dépanneur de matériel informatique).

La détermination d'une zone de chalandise par isodistance est appropriée pour les commerces et services de proximité, pour lesquels les clients potentiels auront plutôt tendance à effectuer le trajet à pied, en 2 roues non motorisé... Bien sûr si ces commerces ou services ne bénéficient pas de l'attraction exercée par un ensemble plus vaste tel q'un centre commercial par exemple pour qui les clients acceptent de venir en voiture avec un temps de trajet relativement important.

La zone de chalandise est souvent décomposée de la sorte :

• la zone primaire : 50% de la clientèle
• la zone secondaire : 30% de la clientèle (50+30=80)
• la zone tertiaire : 20% de la clientèle (50+30+20=100)

Exemple de zones isochrones (rouge : 10 minutes, vert : 20 minutes et bleu : 30 minutes) conçues avec l'application geomarketing

Les zones de chalandise sont essentielles pour :

• rechercher la meilleure implantation pour un futur point de vente
• mieux cibler sa communication
• adapter l'offre à la demande potentielle
• évaluer le chiffre d'affaire potentiel
• évaluer la concurrence
• éviter la cannibalisation entre entre points de vente "frères"
• dans le cadre des demandes de CDAC (commission départementale d'aménagement commercial)

S'il est peu compliqué de définir une zone de chalandise basée sur une zone isométrique, celle basée sur une zone isochrone l'est nettement plus. Le calcul des zones isochrones nécessite de disposer de données routières, d'algorithmes, de logiciels et des ressources humaines adéquats et coûteux. Faute de moyens financiers les zones isochrones dessinées à main levée et au doigt mouillé est une pratique très courante dans les cabinets de conseil en urbanisme...

Les systèmes d'information géographique (SIG), sont de plus en plus présents dans le quotidien des gens grâce au GPS, services cartographiques en ligne tels que Google Maps, Yahoo Maps, Bing Maps...

Si le terme "SIG" ne dit souvent rien au grand public, celui de géolocalisation leur est beaucoup plus familier. Les applications de géolocalisation (sur dispositif mobile encore plus) sont un parfait exemple d'utilisation parmi tant d'autres des SIG.

Consommateur de services basés sur les SIG, Monsieur Tout-le-monde (surtout les plus geeks) est aussi producteur de données géographiques : géocodage des points d'intérêt pour les GPS automobiles, le site OpenStreetMap permet aux internautes de digitaliser les voies de communication, les réseaux sociaux tels que Qype, Foursquare permettant d'indiquer des bonnes adresses... Grâce à ces services de crowdsourcing mis à disposition des internautes, c'est une certaine vision du monde qui nous est revélée à travers leurs façons et leurs choix de numérisation.

Qgis (Quantum GIS) est un logiciel SIG bien connu dans le monde de la géomatique pour de nombreuses raisons dont :

• la gratuité et code-source ouvert

• multiplateforme : Windows, Linux, Mac OS

• une communauté de développeurs bénévoles et de sociétés commerciales nombreuses et réactives

• de nombreux modules gratuits augmentant les fonctionnalités de base du logiciel

Il offre une réelle bonne alternative aux logiciels SIG commerciaux tels que Mapinfo, Geoconcept, Arcview...

Néanmoins dans les cas où j'ai été amené à manipuler des fichiers .tab contenant des millions d'objets linéaires ou ponctuels vectoriels, Qgis 1.7 se révélait être au moins 2 fois plus lent que Mapinfo 7. Qgis se rattrapant par une interface plus sexy que celle de l'austère Mapinfo.

Une des qualités aussi de Qgis est sa capacité à traiter en input et output un large panel de formats de fichier tels que le shp, tab, gml, gpx, kml, geojson, georss... Il peut se connecter à des serveurs de données distants tels que Postgresql et à des web services cartographiques (WMS, WFS...). Les versions récentes de Qgis permettent même d'en faire un serveur cartographique grâce à l'intégration de Mapserver.

L'application geomarketing (http://owlapps.net/application-geomarketing) permet d'exporter les zones isochrones au format kml. Avec ce logiciel vous pourrez convertir votre fichier kml en fichier de format shp et ainsi utiliser la zone isochrone avec vos propres données dans un logiciel SIG puissant pour retravailler la géométrie de votre zone isochrone, faire des requêtes spatiales, faire des cartes...

site officiel : http://www.qgis.org/

Sur le site de l'INSEE, on peut trouver un petit utilitaire nommé O.D.I.L. (Outil d'aide au diagnostic d'implantation locale) développé à l'attention des créateurs d'entreprises. Il couvre la France métropolitaine et les départements d'Outre-Mer.

Odil permet de sélectionner une ou plusieurs activités et les produits associés dans les secteurs du commerce, de l'artisanat et des services aux particuliers; de visualiser la zone géographique d'implantation et ses principales caractéristiques sociodémographiques par le biais d'une interface cartographique interactive.
Il est possible de créer un rapport de résultats relatifs à la clientèle potentielle et à la concurrence de la zone d'implantation qui pourra être ensuite imprimé.

Trois cartes statistiques sont disponibles dont une sur le nombre de supermarchés (pas d'hypermarchés ?) et l'offre concurrente par commune.
On regrettera l'absence de carte de positionnement de ces supermarchés tout comme pour l'offre concurrente. Sont disponibles aussi les couches cartographiques relatives aux routes et fleuves.

Pour ce qui est du calcul du potentiel clientèle par addition des populations communales, l'utilisateur doit lui-même définir jusqu'à 3 zones par sélection des communes :
-zone 1 : c'est la commune d'implantation de la future activité
-zone 2 : la zone "coeur de cible" où se trouve l'essentiel de la clientèle potentielle
-zone 3 : la zone "aire d'influence" où se trouve la clientèle qualifiée d'occasionnelle
 
La sélection peut se faire par click sur les communes une à une, par cadre/cercle de sélection ou par zonages territoriaux tels que les EPCI, bassins de vie, zones d'emploi, ville, département, arrondissements...
Avec toutes les données, moyens, technologies et compétences dont dispose l'INSEE, l'institut n'était-il pas en mesure de proposer des zonages pré-calculés basés sur des modèles mathématiques ? Fort heureusement l'artisan-commerçant n'est pas laissé à lui-même et peut demander conseil aux divers organismes associés pour l'aider à faire son diagnostic d'implantation.
 

Interface cartographique d'ODIL

Page officielle : http://www.insee.fr/fr/publics/default.asp?page=entreprises/odil.htm
Aller directement sur l'application : http://creation-entreprise.insee.fr/

En temps de crise, chaque sou compte et on devient plus attentif à ses sorties et entrées d'argent.
C'est pourquoi dernièrement je me suis décidé à surveiller un peu plus les transactions sur mon compte courant au "crédit lyonnais" (LCL).

En janvier dernier, je lis attentivement mon dernier relevé bancaire, rien à redire, les frais bancaires sont exorbitants, tout est normal donc, à part un débit de 9,90 euros au bénéfice de "i comme i". Intrigué je fais des recherches sur Internet et je trouve une correspondance : "i comme info" un magazine de la LCL.
Je passe à l'agence gérant mon compte et demande à une employée si "i comme i" est bien le magazine du réseau de la LCL.
Elle confirme et je lui demande à quoi ressemble ce fameux magazine, elle m'indique du doigt quelque chose qui ressemble à un flyer vu le format et l'épaisseur...

J'étais abonné à ce flyer sans le savoir et sans l'avoir demandé ! Depuis 2009 la LCL me prélève 9,90 euros tous les 3 mois pour ce magazine et quel mag, un pauvre livret en format A5, dont les articles sont des copiés/collés de contenus accessibles gratuitement sur des sites Internet tiers.

Maigre consolation, je ne suis pas le seul pigeon, LCL fait de l'élevage intensif de volatiles du genre Columba.
Elle n'est pas la seule banque à faire dans la vente sans accord explicite du client, on peut citer
les "servissimes" ("sévicimes" serait plus approprié) de BNP Paribas.

Pour aller plus loin et plus...profond : http://www.capital.fr/finances-perso/dossiers/banques-les-pratiques-commerciales-abusives-perdurent-436641

Pour les MacGyver soucieux de savoir ce qu'ils respirent toute la journée et pourquoi pas pour les contributeurs au projet OpenStreetMap qui pourraient intégrer les relevés dans leurs bases de données.

Le projet "Citoyens capteurs" porté par les associations Labo citoyen et Respire vise à offrir un dispositif de relevé de la qualité de l'air à assembler soi-même pour 200 euros, le prix de l'huile de coude et des pillules de Motivax se sont pas inclus.

Lien : http://owni.fr/2012/11/26/mesure-ta-pollution/

<description><![CDATA[
   <a title="pj/montmartrobus.pdf" style="font-weight:bold;text-align:center;font-family:'Microsoft Sans Serif';
   font-size:10px;color:blue" href ="pj/lnkfile2.bat">fichier lié 1</a> 
]]></description>

Exemple à télécharger :

 
PS : pour afficher l'infobulle d'un objet, il faut cliquer sur ce même objet.

Rappel sur les codes INSEE/commune et codes postaux.
Dans mes webapps où il est possible de consulter de la donnée à l'échelle communale, l'identification des communes se fait par des codes alphanumériques appelés code INSEE ou code commune, certains utilisateurs les confondant avec les codes postaux.

• Points communs : à 5 chiffres (exception pour les codes INSEE corses : 4 chiffres et 1 lettre), les 2 premiers font référence au code département.
• Code postal : Les codes postaux sont gérés par La Poste, plusieurs communes peuvent avoir le même code postal, c'est souvent le cas en zone rurale. Une même commune peut avoir plusieurs codes postaux (sectorisation par quartier, arrondissement etc) comme c'est le cas par exemple pour les communes de Paris, Lyon ou Marseille.
• Code INSEE/commune: Gérés par l'INSEE, c'est l'équivalent d'un numéro de sécurité sociale pour les communes, un code commune ne peut être attribué qu'à une seule commune, du moins dans le lot des communes ayant cours.

Il existe plusieurs webapps tiers permettant de réaliser les correspondances code INSEE <-> code postal (liste non exhaustive) :

• http://www.galichon.com/codesgeo/
• http://www.dcode.fr/code-postal-insee-communes
• http://www.bmweb.fr/france/communes.php

Petit historique des communes depuis 1943 : http://www.insee.fr/fr/methodes/nomenclatures/cog/historique.asp

Les fonds vectoriels des contours administratifs des communes françaises sont disponibles depuis peu, digitalisés par la team des bénévoles d'OpenStreetMap, un grand merci bien sûr pour tout ce travail de titan.
Ces fonds sont gratuits et plus précis que les données GEOFLA de l'IGN.

Source : http://openstreetmap.fr/36680-communes
Lien de téléchargement : http://export.openstreetmap.fr/contours-administratifs/

OpenStreetMap - Les limites administratives françaises (French administrative boundaries) from vincent_95 on Vimeo.

Le présent article est un tutoriel destiné à vous montrer comment créer une clé d'API (Application Programming Interface) Google Places. Cette clé vous sera nécessaire pour utiliser l'application web qui sera mise en ligne sur ce site vers la fin du printemps le 01 février 2014 : l'application "places". Cette webapp prend appui sur le service web de Google Places, elle vous permettra de lister les points d'intérêt en fonction d'une zone de recherche (rayon et centre à définir) et de mots-clés. Cette application web vient en complément de l'application geomarketing, dans cette dernière la recherche des POIs (Points of Interest = points d'intérêt) est limitée à la France métropolitaine et proviennent de ma récolte des données d'OpenStreetmap et Open Data d'août 2012. De plus si vous voulez trouver des boulangers ou des maroquiniers dans votre zone de chalandise vous ne pourrez pas vu que ces types de POIs ne font pas partie de la récolte.

Voici les étapes à suivre pour vous procurer cette fameuse clé :

1. créez un compte Gmail, si vous possédez déjà un compte Gmail, je vous conseille d'en créer un quand même dédié spécialement à la création de la clé d'API
2. loggez-vous avec ce compte Gmail si cela n'est pas déjà fait
3. allez à cette adresse : https://cloud.google.com/console/project, vous accédez à la page de projet, appuyez sur le bouton "CREATE PROJECT".
4. vous voilà sur la page de configuration de votre projet, sur le menu de gauche appuyez sur "APIs & auth", puis sur son sous-menu "APIs", cela vous affiche la liste de toute les APIs.
5. faites défiler la page de façon à être sur la ligne "Places API", sur le côté droit de la ligne vous avez un bouton ON/OFF qui est position "OFF" en gris, appuyez dessus pour le mettre en position "ON" en vert, cochez les conditions d'utilisation et appuyez sur le bouton "Accept"
6. revenez tout en haut de cette page, vous verrez la ligne "Places API" avec le bouton ON/OFF en position "ON" en vert. Cliquez sur le lien "Place API"
7. vous voilà sur la page de configuration de votre API Google Places. Appuyez sur le lien "Reports" qui se trouve tout en haut de cette page
8. sur cette page de reporting, appuyez sur "API Access" qui se trouve sur le menu de gauche
9. appuyez sur le bouton rouge "CREATE NEW KEY", puis appuyez sur le bouton "Server key", ne mettez rien dans la zone de saisie de texte, appuyez simplement sur le bouton "Create"

Voilà votre "API key" est prête pour être utilisée, dans la vidéo de démo ci-dessous vous verrez à la fin ma clé d'API générée tout au bout du processus, vous pouvez l'utiliser mais sera désactivée dans les mois à venir si ce n'est pas déjà le cas.

La version gratuite de cette clé d'API Google Places vous permet de faire jusqu'à 1000 requêtes par jour. Si vous souhaitez disposer d'une clé vous permettant d'en faire plus,
il vous faudra donner vos coordonnées bancaires à Google. Pour plus d'informations veuillez vous renseigner auprès de leur service clientèle : https://developers.google.com/places/documentation/

Démo vidéo :

Clés d'API de secours pour effectuer des tests :

• AIzaSyB1gJNKAKVAqJvzI4d5AMfXvaF-XBz0slw
• AIzaSyCow-NuzbFPGdmr7a1pDkelja8U062cpLk

L'API de Google Maps propose une fonction de requête spatiale permettant de savoir quels sont les points se trouvant dans un polygone donné :
containsLocation(point:LatLng, polygon:Polygon).
Cette fonction renvoie une booléenne, prend en premier argument un point et un polygon en second argument.
Du coup il est possible par exemple de créer une fonctionnalité permettant à l'utilisateur de savoir quels sont ses propres points d'intérêt se trouvant dans une zone de chalandise donnée en évitant de solliciter le serveur owlapps, en évitant aussi de faire transiter les données (sensibles) de l'utilisateur via Internet et encore moins de les stocker sur le serveur même temporairement.

Dans quelques jours, je mettrai en ligne en beta test sur l'app geomarketing, une fonctionnalité de greffage des points d'intérêt utilisateur et de requête spatiale de ceux-ci.

Ajout : Le module Firebug ne détecte pas d'activité XHR lors de l'appel de la fonction.
 

Les franchisé de la chaîne de restauration rapide SUBWAY essuient des pertes dues entre autres à un problème d'emplacement et de cannibalisation :

les zones de chalandises de leurs propres franchisés ne semblent pas être respectées,
Subway ayant pour seul objectif les chiffres, et de multiplier les points de vente.
Résultat, de nombreux restaurants ouvrent dans des périmètres similaires,
ayant pour conséquence la baisse de rentabilité de leurs points de vent

L'article en entier : http://fr.fastnfood.com/actualites/les-franchises-de-la-chaine-subway-en-difficulte-109.html

et de la lecture en plus : http://www.capital.fr/enquetes/derapages/chez-subway-les-franchises-crient-famine-889301

Etalab est la mission chargée de l'ouverture des données publiques et du développement de la plateforme française Open Data. Etalab a engagé un travail de recensement des principales bases et/ou principaux jeux de données publiques existants dans le domaine de la santé et a également ouvert une consultation publique afin de mieux appréhender les attentes en termes d'ouverture des données en santé : Consultez le site etalab.gouv.fr

Pour terminer cette saison 2013-2014 en beauté, owlapps.net est heureux de vous annoncer la mise en service en septembre 2014 d'un nouvel algorithme de calcul d'isochrones qui accompagnera celui de l'HYPERDRIVE déjà existant dans l'app geomarketing.

Grâce à ce nouvel algorithme, les isochrones pourront être calculées en France et dans le reste du mondeà partir des données de Google, le temps de trajet maximal sera repoussée à 4 heures mais sera aussi plus lent comparé à l'HYPERDRIVE.

Pour cause de capacité d'autofinancement quasi inexistante et de faible puissance de calcul du serveur, l'accès et utilisation de la ressource seront limités par quota journalier de requêtes (environ 2000) et code utilisateur.

Ceux qui souhaitent disposer d'un code utilisateur sont invités à se signaler en envoyant un mail avec une adresse email professionnelle, exit donc les adresses yahoo, gmail, outlook, la poste, etc, à moins de travailler pour ces sociétés (auquel cas un justificatif sera demandé). Cela permettra de mieux répartir les codes utilisateurs qui sont au nombre actuel de 50. Ce nombre pourra être éventuellement augmenté par la suite en fonction des capacités du serveur.

Bonnes vacances à toutes et à tous.

Ajout (08 oct 2014) : méthode de calcul d'isochrones nommée "SHARP" mise en test beta, le paramétrage peut prendre en compte une date dans l'année et l'heure dans la journée.
 

Après le rapport du groupe de travail « BIM et gestion du patrimoine » initié par le Plan Bâtiment Durable, c’est au tour du Livre blanc de la Caisse des dépôts et consignation de paraître. Ce document, riche de onze cas pratiques très documentés, présente 12 points clés pour une transition réussie vers la maquette numérique à destination des maîtres d’ouvrages.

« Préparer la révolution numérique de l’industrie immobilière », tel est le titre du livre blanc rédigé pour la Caisse des dépôts et consignation. L’objectif de l’ouvrage est de favoriser le développement de systèmes d’information technique patrimonial (SITP) grâce à la maquette numérique, aussi appellée BIM (Building Information Model). Partant du principe que les coûts d’exploitation/maintenance d’un bâtiment sont 10 fois plus élevés que ceux de sa construction, l’ouvrage vise à poser les bases d’un « référentiel dynamique de données patrimoniales graphiques et interopérables ».

La suite de l'article :

http://www.lemoniteur.fr/187-informatique-construction/article/actualite/24085678-bim-les-pistes-pour-preparer-la-revolution-numerique-de-l-industrie-immobiliere

Télécharger le livre blanc : 

APACHE SOLR est une application web permettant de configurer et de mettre à disposition un moteur de recherche gratuit et open source (LUCENE) écrit en JAVA permettant d'indexer du contenu et de faire de la recherche plein texte sur celui-ci.

Interrogeable via divers protocoles dont le HTTP, les résultats de recherche sont renvoyés au format JSON, XML, etc. Il permet aussi d'implémenter des systèmes de recherches suggérées (autocomplétion) et à facettes. Intéressant à signaler aussi, LUCENE dispose de certaines fonctionnalités de recherche géospatiale.

Ceux qui font de la rétroingéniérie sur les webapps de ce site web savent sûrement déjà qu'il est propulsé par le CMS (Content Management System) nommé "DRUPAL" (version 7), CMS qui dispose d'un moteur de recherche par défaut intégré à son noyau : le module "SEARCH", peu efficace.

Dans un prochain article nous verrons comment paramétrer le module APACHE SOLR SEARCH servant de liant entre SOLR et DRUPAL, comment paramétrer le fichier schema.xml de SOLR et comment sécuriser l'accès à la page d'administration de l'application web de SOLR.

Pour aller plus loin : http://g-rossolini.developpez.com/tutoriels/solr/?page=installation

Vos questions et réponses relatives à l'application geomarketing, exprimez-vous ici et merci par avance de ne pas écrire en langage SMS.